Mais bon, tout ça, c'est du vent, des promesses... La preuve: dès qu'ils entrent en campagne électorale, que font tous les candidats ? Ils font les marchés !
mercredi 3 octobre 2012
"Tout ça, c’est la faute des marchés"
Tout ça, c’est la
faute des marchés. Ah les marchés… On n’arrête pas d’incriminer cette entité
abstraite dont personne ne sait exactement ce qu’elle représente. Les marchés… On
leur a fait porter bien des responsabilités aux “marchés” ces derniers temps. Depuis
le début de la crise financière, les hommes et femmes politiques n’ont cessé de
s’en prendre aux marchés. La faillite des banques ? C’est la faute aux
marchés. Les délocalisations, les restructurations d’entreprises, le chômage… c’est
à cause des marchés. Qu’ils soient de gauche ou de droite, les responsables publics
n’ont cessé de critiquer les marchés. Les licenciements économiques ? C’est
la faute aux marchés. La faiblesse de l’euro ? C’est les marchés. La hausse
du prix de l’essence ? C’est encore et toujours les marchés. On les dit
volatiles, impitoyables. Leur comportement serait irresponsable, voire
inhumain. On parle de la logique économique insensible des marchés. Les
politiques ont fait des marchés les principaux responsables de tous les maux de
notre société.
Mais bon, tout ça, c'est du vent, des promesses... La preuve: dès qu'ils entrent en campagne électorale, que font tous les candidats ? Ils font les marchés !
Mais bon, tout ça, c'est du vent, des promesses... La preuve: dès qu'ils entrent en campagne électorale, que font tous les candidats ? Ils font les marchés !
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